AICHA AMAR : LIBEREZ BIRAM
La méthode de lutte du président de l’IRA, le député Biram Ould Dah Abeid, il est vrai n’invite pour plusieurs raisons, la sérénité.
Sa témérité lui permit de bousculer l’ordre établi, de s’élever contre d’injustices séculaires. enracinées dans notre inconscient collectif.
Il dérange le confort en lequel se prélassent certains.
Toutes les féodalités confondues se trouvent offensé, leur honneur entaché par les accusations de ce Spartacus des temps modernes.
Oser secouer leur « piédestal social »..
Quelle insolence !
Beaucoup d’entre nous auraient abandonné l’activisme, dévalé les dédales des tortueuses ruelles de la conscience au premier jet de grenades.
Personnellement, j’aurais pu y laisser mes chaussures, mes lunettes, .. et mon sac, celui la à mes yeux, est le plus précieux, le bien est par nature l’intime de l’âme.
D’autres se seraient barricadés derrière les grilles de leurs somptueux bureaux, où derrière l’inaccessible palais, au premier jet de pierre, cris d’une révolte.
Le commerçant rabougri du quartier des affaires aurait lui tiré les volumineuses grilles de fer sur ses précieuses marchandises, et dans la précipitation confier son trésor au vieux gardien, pour s’éloigner aussi vite que ses pieds charnus lui permettront.
Les principes s’écrasent souvent sous le poid «des pressions».
Le militantisme est dur à assumer.
Pourtant, ni les séjours en prisons, ni les calomnies n’ont pu fléchir le député .
Le « courage » a changé de camps, avouons-le.
Le président Biram a changé lui aussi à sa stratégie d’épaule.
Son discours s’est radoucit, du Luther king enveloppé dans du Ghandi, avec quelques pics d’énervements qu’impose un contexte parfois hostile.
Reconnaissons lui sa persévérance, sa capacité d’imposer sa préoccupation au centre du débat national, à l’exporter comme thématique d’importance au niveau des tribunes internationales.
Libérez Biram .
Sa témérité lui permit de bousculer l’ordre établi, de s’élever contre d’injustices séculaires. enracinées dans notre inconscient collectif.
Il dérange le confort en lequel se prélassent certains.
Toutes les féodalités confondues se trouvent offensé, leur honneur entaché par les accusations de ce Spartacus des temps modernes.
Oser secouer leur « piédestal social »..
Quelle insolence !
Beaucoup d’entre nous auraient abandonné l’activisme, dévalé les dédales des tortueuses ruelles de la conscience au premier jet de grenades.
Personnellement, j’aurais pu y laisser mes chaussures, mes lunettes, .. et mon sac, celui la à mes yeux, est le plus précieux, le bien est par nature l’intime de l’âme.
D’autres se seraient barricadés derrière les grilles de leurs somptueux bureaux, où derrière l’inaccessible palais, au premier jet de pierre, cris d’une révolte.
Le commerçant rabougri du quartier des affaires aurait lui tiré les volumineuses grilles de fer sur ses précieuses marchandises, et dans la précipitation confier son trésor au vieux gardien, pour s’éloigner aussi vite que ses pieds charnus lui permettront.
Les principes s’écrasent souvent sous le poid «des pressions».
Le militantisme est dur à assumer.
Pourtant, ni les séjours en prisons, ni les calomnies n’ont pu fléchir le député .
Le « courage » a changé de camps, avouons-le.
Le président Biram a changé lui aussi à sa stratégie d’épaule.
Son discours s’est radoucit, du Luther king enveloppé dans du Ghandi, avec quelques pics d’énervements qu’impose un contexte parfois hostile.
Reconnaissons lui sa persévérance, sa capacité d’imposer sa préoccupation au centre du débat national, à l’exporter comme thématique d’importance au niveau des tribunes internationales.
Libérez Biram .
Aicha Amar
Source: http://adrar-info.net