Bulletin N° 14 de la Caravane
I. De pseudo ONGs de Droits de l’Homme instrumentalisées par le système esclavagiste :
Après avoir espionné, enregistré puis manipulé les propos du Président Biram DAH ABEID à des fins de fausse propagande avec l’aide de deux employés du Bureau du Haut Commissariat aux Droits de l’Homme de l’ONU en Mauritanie, les autorités racistes et esclavagistes ont envoyé à Rosso des représentants de pseudo organisations de Droits de l’Homme, toutes affiliées aux services de renseignements, pour officiellement s’enquérir des conditions de détention de Biram Dah ABEID et ses codétenus. En réalité, ils voudraient profiter de la visite pour prendre des photos avec nos amis détenus destinés à alimenter le cirque qu’ils entendent organiser au Forum Mondial des Droits de l’Homme qui se tiendra du 27 au 30 novembre 2014 à Marrakech (Maroc). Dans cette rencontre, ils déclareront aux participants que la Mauritanie est un pays de droit.
Les détenus d’opinion les ont tout simplement éconduits, refusant de les recevoir. Ces hratin qui dirigent ces organisations sont abonnés chez le Général Ould Meguett, Directeur Général de la Sureté Nationale. Ces pions de service sont :
1. Izidbih DAY
2. Teslem SAMBA
3. Ahmed vall BARKA
4. Sidi Abdallah HAMADI
5. Mohamed M’BAREK
6. Toutou Ahmed JIDOU
7. Sidiya AHEMDI
8. Lebatt MOHAMED
II. Le Wali Isselmou Ould Sidi – Tortionnaire récidiviste :
Pour avoir été Chef d’Arrondissement de Jidrel Mohguen pendant les années de braise Isselmou Ould Sidi, l’actuel Wali (Gouverneur) de la Région de Trarza est connu pour avoir déporté, torturé et dépossédé les paisibles citoyens des localités qui relevaient de lui. Par son action, les habitants de villages entiers furent déportés et leurs terres spoliées.
C’est lui, Isselmou Ould Sidi, qui a ordonné l’arrestation d’innocents citoyens – le Brigadier Mahmoud Sy, le Postier Mr Dia et Alassane Watt paix à leurs âmes ainsi que Mahmoud Boikina sur la base d’une accusation mensongère qu’ils étaient membres des FLAM et qu’ils projetaient d’assassiner les beydhan. Ils ont été incarcérés et sévèrement torturés jusqu’à ce que mort s’en suive pour les trois premiers.
Nouakchott, le 25 novembre 2014
La Commission de communication