Violente répression par la police et le bataillon de sécurité présidentiel, pour avoir voulu remettre une lettre au secrétaire général de l’ONU
Violente répression par la police et le bataillon de sécurité présidentiel, pour avoir voulu remettre une lettre au secrétaire général de l’ONU
Les autorités Mauritaniennes ont écarté IRA des organisations de la société civile qui devaient rencontrer le secrétaire général de l’ONU monsieur Ban Ki Moon lors de sa visite à Nouakchott le vendredi 4 mars 2016. les militants ont même été violemment réprimés par la police et le bataillon de sécurité présidentiel, pour avoir voulu remettre au secrétaire général de l’ONU une lettre et plusieurs militants ont été admis aux urgences de l’hôpital.
Malheureusement c’est le lot quotidien des militants d’IRA-Mauritanie : même pour remettre une lettre, il faut d’énormes sacrifices…