Affaire de Bazra Ould Haidallah révèle le caractère sadique d’un racisme d’état sournois au sommet en Mauritanien.
Quand on vous raconte que cette histoire se passe en plein juillet 2015, allez-vous le croire messieurs dames?
Fils d’un ancien président les faits:
« La cour criminelle a condamné aujourd’hui mercredi 15 juillet courant, Bazra Ould Haidallah, le fils de l’ancien président mauritanien Mohamed Khouna, à une peine de deux ans d’emprisonnement ferme.Parmi les charges retenues contre lui, agression de la force publique, port illégal d’arme, menace de mort et blessures volontaires. Ould Haidallah fils avait ouvert le feu sur des agents du Groupement Général de la Sécurité Routière avant de récupérer de force sa voiture, immobilisée dans la fourrière, pour infraction. »
Voilà qui montre le mécanisme du racisme d’état sournois que nous dénonçons au sommet des institutions. Quand on est maure tout est presque permis dans ce pays.
Ce jeune pète le plomb nous disent-ils, ouvre le feu avec une arme de guerre sur les forces du désordre, blesse des passants et s’en tire seulement avec 2 ans de prison. Ce n’est point l’objectif de l’accabler mais le racisme au sommet de l’état n’est plus à démontrer.
Les peines encourues sont différentes selon l’ethnie, la tribu où la race de la personne incriminée, le fils du général Aziz en personne, Badr Ould Abdel Aziz tire à bout portant sur des gens et se promène avec des armes de guerre sans être inquiété en toute impunité.
Biram Dah Ould Abeid, Brahim Ould Bilal et Djiby SOW sont accusés depuis le 11 novembre 2014 sur du faux et usage du faux de « rébellion non armée », un délit inventé de toutes pièces qui n’existe nulle part au monde , « d’appartenance à une ONG non reconnue » alors que la constitution garantie la liberté d’expression, d’opinion et d’association à tous les mauritaniens et ils ont été condamnés à 2 ans de prison ferme et purgent actuellement cette peine injustifiée dans un bagne à 250 km de la capitale sans fenêtre avec interdiction même des séances de promenades. Vous voyez combien c’est monstrueux le racisme d’état en Mauritanie?
Sommes-Nous dans un pays normal ou dans un pays des monstres racistes? Un rebelle avec arme de guerre de pointe à la main qui tire sur tout ce qui bouge prend la même peine que des hommes accusés à tort de rébellion non armée et Ils nous chantent en plus que le racisme d’état n’existe pas, incroyable n’est-ce pas?
Le faux général Aziz est complètement un déglingué mental. Un pervers immoral raciste qui cultive le culte des inégalités sur la base raciale. Il n’a cessé à le démontrer depuis en 2008 et ne le cache pas. Voilà une façon claire de dire à qui le veut où pas, celui qui veut être entendu immédiatement doit faire l’usage de la force brute, la violence aveugle en faisant parler des armes et il se comportement comme un gangster qui n’écoute et n’a peur que des coups de feux des armes.
La voie de l’expression des armes de guerre est libre messieurs, rendez au pervers faux général sa monnaie comme il se doit. Ce sauvage met la vie de tous les mauritaniens en danger alors que c’est un trouillard Satan qui passe son temps à forniquer et voler les biens publics sans aucune moralité humaine.
Diko hanoune